- Joeïa YoonMODO - Modératrice
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High cleaning (ft. Cameron)
Mar 19 Mar 2024 - 22:06
« Aboule ton p’tit cul tout blanc chez moi, j’ai un truc à te montrer ! » - 14h35
Pas un bonjour ni un merci, c’est tout Joe ça. Ou du moins, Joe quand elle s’adresse à ceux qui comptent vraiment. Une délicatesse sans nom. Elle ne sait même pas si Cameron est disponible actuellement, elle a juste envoyé ça sur un coup de tête en regardant avec fierté le nouveau détergent acheté dans une boutique sorcière. Franchement, on en fait peu comme ça et elle s’est empressée de l’acheter pour l’essayer. Et qui de mieux que Camcam pour l’accompagner dans cette tâche ? Il s’y connaît surement mieux que personne en nettoyage. Enfin, quand il accepte de laver son linge par lui-même. C’est une autre histoire.
Joe pose son téléphone sur la table basse et tout en chantonnant, va chercher de quoi s’attacher les cheveux en queue de cheval. Voilà, parfait. Avec sa tenue légère et confortable, une bonne musique dans les oreilles et un peu de soleil, elle est capable de faire le ménage pendant une bonne heure et demi. La voilà qui se trémousse déjà en attendant que son ami de toujours arrive. Elle ramasse un sweat, le met dans sa corbeille à linge, passe en coup de vent dans sa chambre pour remettre deux ou trois choses à leur place – ce n’est pas comme si Cameron ne connaissait pas son goût pour le désordre – et termine dans la cuisine à s’enfiler deux ou trois bonbons le temps de l’attente. Allez, peut-être un quatrième. Ou un cinquième… stop voyons ! Ah, tiens, elle a oublié les éponges, ça peut toujours servir. Ne trouvant pas sa baguette sur elle – piètre sorcière dira-t-on – elle utilise ses jambes pour aller les chercher elle-même dans le placard sous l’évier. Revenue au salon, la demoiselle s’impatiente. Attendre n’est pas sa plus grande qualité, on le saura.
« Je suis en train de mourir d’ennuiiiiiiiiiiii » - 14h43
Hop, petit smiley pour bien appuyer son dramatisme car il n’y a que comme ça qu’elle aime bien communiquer, surtout avec Cameron. En même temps, elle ne ment pas vraiment. C’est l’excitation qui stimule son impatience. Elle a envie d’ouvrir la bouteille et de la renifler. Pourquoi est-ce que ça sonne comme une mauvaise idée et que, le sachant, elle en a encore plus envie ?
Ah, la porte ! C’est Cameron, elle sent déjà son parfum inonder l’entrée (ouioui inonder elle n’exagère pas du tout, jamais). À la porte refermée qu’elle lui saute dessus pour un grand câlin d’accueil – Joe jugée meilleure hôte de l’année. Elle lui prend la main et le tire jusqu’au salon où trône fièrement sur un meuble la bouteille de détergent, aka « Potion de récurage Bio pour votre intérieur, à base de racines de Tentacula et de vinaigre blanc. Elimine toutes les tâches, même les plus tenaces ! Et ce, dans la joie et la bonne humeur. » Bon, elle n’a pas compris l’intérêt de cette dernière partie mais le message est convainquant non ?
« J’ai tout de suite pensé à toi ! »
@Cameron Dullahan
- Cameron DullahanOldieㄨ experimented wizard
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Jeu 21 Mar 2024 - 18:33
High cleaning @Joeïa Yoon
Outfit. Les pulpes de ses pouces s’était abattu avec une vitesse déraisonnable sur le pauvre écran de téléphone. Il était martelé sans précaution, encore et encore. Son calvaire ne semblait pas pouvoir prendre fin puisqu’en dépit du temps qui s’égrenait, Cameron s’évertuait à trouver le commentaire adéquat. « Ok » aurait certainement suffit à Joeïa, qu’il devinait trépigner dans son salon. Non. C’était plus fort que lui. Il avait eu besoin de rebondir sur la supposée absence de pigmentation de son fessier afin de la nuancé. La phrase, somme toute simple, ne lui convenait pas. Alors il réitérait la tentative, alors que les minutes filaient plus rapidement encore que ses doigts.
C’est une nouvelle notification qui l’avait extirpé de sa curieuse transe. Merde. La sorcière devait avoir fini par creuser une tranchée, à force d’aller-retours impatients entre le canapé et la table basse. Heureusement pour lui, sa tête saurait rester solidement accrochée à sa base puisqu’une course à fond de train devait lui permettre de réduire l’attente de la belle. Il l’espérait de tout cœur. Si le plan A s’avérait être un échec, il userait de l’amitié si particulière qui les liait pour se faire pardonner. Tout était permis tant que ça lui permettait d’éviter le courroux de la sorcière.
L’appareil moldu fut coincé dans la poche de sa veste de survêtement dont la capuche lui chatouillait le front par habitude. Les jambes disparurent dans un pantalon confortable et leurs extrémités chaussées d’une paire de converse qu’il affectionnait de tout son cœur. Bien moins que sa collection de bottes, qu’on se le tienne pour dit.
Toc, toc. L’escalier avait été monté quatre à quatre, comme l’attestait son souffle rapide et ses joues rougies par l’effort. Un sourire trônait malgré toutefois sur sa face, puisque rien au monde ne pouvait contrer l’effet par la vision de la jeune femme. Les bras s’ouvrirent sans même y réfléchir et c’est avec un soupir appréciatif qu’il nicha son nez non loin de son oreille. Son shampoing sentait bon. Ses câlins étaient bons. L’un comme l’autre lui donnait envie de profiter un peu plus de sa proximité mais il n’en eut pas l’occasion. Il fut tiré par la main sans sommation et eut à peine le temps de claquer la porte du revers de sa chaussure, manquant de se manger le sol par la même occasion. Quelle douceur…Enfin ! Il l’aimait pour ce qu’elle était : sincère, bienveillante, drôle et un peu folle sur les bords.
« Hein ? » Le sourcil s’arqua, avant qu’il ne comprenne la raison de son excitation. Il s’accroupit et tordit sa bouche en « O » significatif, avant de se mettre à siffler. Le sourcil retomba à la fin de la lecture et chercha à se froncer, sans grand succès. C’était qu’il était piètre menteur, Rainbow. C’était encore pire en compagnie des Affreux Jo. La taquinerie enrobait chacun de ses mots et le sourire pointa. Impossible de le refreiner en sa présence.
« Tu as pensé à moi parce qu’il est précisé que ça éliminait les tâches, c’est ça ? »
La langue darda entre ses lippes et s’étira longuement sous les yeux de la danseuse, mutine au possible. Elle se rangea finalement puisque le sourire ne cessait de s’agrandir, donnant alors un drôle d’air à sa figure. Ange ou démon ?
« Je suis curieux de savoir ce que ça sent. On l’ouvre, dis ? »
Non seulement la bouteille promettait monts et merveilles mais en plus, elle détenait un parfum unique. Il n’avait encore jamais vu de produits à base de tentacula. Est-ce que ça sentait bon la nature, comme certains nuages de fumée qu’il prenait plaisir à traverser en soirée ? Ou est-ce que ça lui piquerait les narines ? Il avait besoin de savoir.
Codage par Libella sur Graphiorum
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Jeu 21 Mar 2024 - 21:24
On ne peut faire plus impatiente qu’elle à cet instant. Même un enfant le matin de Noël aurait plus de retenue. C’est qu’elle s’est rendue compte qu’il y a peu de personnes dans sa vie susceptibles de parfaitement la comprendre et l’accepter avec ses petites défaillances, et qu’elles se comptent sur les doigts d’une seule main. Cameron plus que n’importe qui d’autre comprendra pourquoi elle lui montre cette bouteille et en quoi c’est intriguant. Alors, tandis qu’il en lit l’étiquette, elle l’observe comme un tigre guetterait sa proie. C’est à peine si elle bat des cils ! Tout son être n’est concentré que sur une seule chose : et si Cameron trouvait ça nul ? S’il repartait sans demander son reste ? Après tout, elle ne peut pas toujours avoir de bonnes idées…
« Moooooh arrête va, fais-pas ton Calimero ! Tu sais très bien que t’es le genre de tâche qui reste pour la vie et qu’on est bien content de ne pas pouvoir faire partir. Si ça existe. »
Il n’est pas difficile de faire savoir à Cameron ce qu’elle pense de lui. Tout a toujours été clair depuis le début : elle l’aime sans condition. Petits défauts ou pas. Mauvais toc ou non. Elle s’en fout. Ce n’est qu’une question d’adaptation ; Joe est toujours prête à faire des efforts pour ceux qui en valent la peine. Avec lui, c’est une évidence depuis le début ! Ils ont toujours trouvé de quoi s’entendre et cette bouteille est un nouvel élément à mettre dans la balance. Elle lui attrape la langue du bout des doigts et tire dessus, comme pour le punir d’avoir osé faire une telle grimace alors que, déjà, elle la recopie sans vergogne. Quand elle lâche la demoiselle humide, celle-ci retourne dans sa tanière.
« Évidemment qu’on l’ouvre ! J’espérais bien te l’entendre dire. »
Petit sourire de démone au coin des lèvres, c’est sans la moindre hésitation que Joe s’approche du flacon pour l’ouvrir. Il ne lui faut que peu de force pour venir à bout du bouchon neuf, qu’elle dépose sur le côté. Pas au bord, pour ne pas créer une quelconque gêne chez Cameron. Avec le temps, les jumeaux ont appris à reconnaître les éléments susceptibles de mettre le dernier membre de leur trio mal à l’aise ou mal dans sa peau. Il suffit parfois d’un rien et on pourrait croire qu’il est épuisant pour eux de faire constamment attention. La vérité, c’est qu’il ne s’agit que d’habitudes à prendre. Souvent maintenant, Joeïa ne réfléchit même plus. Elle sait. Bien sûr, elle apprend de nouvelles choses tous les jours car Cameron est toujours plein de surprise. Quand on croit le connaître par cœur, il vous étonne par sa nouveauté.
À peine la bouteille ouverte, elle la met entre eux et plonge presque son nez dedans. Inspire profondément. Recule presqu’aussitôt. Wow, elle ne s’attendait pas à ce que l’odeur soit si puissante ! Un mélange un peu terreux difficilement caché par la forte fragrance du vinaigre blanc, qui donnerait presque envie de pleurer tant elle pique les yeux.
« Ils comptent nettoyer le cul d’un troll avec ça ? C’est super fort ! Tu veux qu’on essaye de nettoyer quelque chose avec ? »
Fièrement, elle brandit les gants en caoutchouc qu’elle a prévu pour l’occasion. Ils sont neufs, bien entendu. Car oui, pourquoi s’embarrasser de magie quand on peut faire les choses soi-même, à mains nues ? Ce sera beaucoup plus marrant que de regarder l’éponge danser toute seule !
@Cameron Dullahan
« Moooooh arrête va, fais-pas ton Calimero ! Tu sais très bien que t’es le genre de tâche qui reste pour la vie et qu’on est bien content de ne pas pouvoir faire partir. Si ça existe. »
Il n’est pas difficile de faire savoir à Cameron ce qu’elle pense de lui. Tout a toujours été clair depuis le début : elle l’aime sans condition. Petits défauts ou pas. Mauvais toc ou non. Elle s’en fout. Ce n’est qu’une question d’adaptation ; Joe est toujours prête à faire des efforts pour ceux qui en valent la peine. Avec lui, c’est une évidence depuis le début ! Ils ont toujours trouvé de quoi s’entendre et cette bouteille est un nouvel élément à mettre dans la balance. Elle lui attrape la langue du bout des doigts et tire dessus, comme pour le punir d’avoir osé faire une telle grimace alors que, déjà, elle la recopie sans vergogne. Quand elle lâche la demoiselle humide, celle-ci retourne dans sa tanière.
« Évidemment qu’on l’ouvre ! J’espérais bien te l’entendre dire. »
Petit sourire de démone au coin des lèvres, c’est sans la moindre hésitation que Joe s’approche du flacon pour l’ouvrir. Il ne lui faut que peu de force pour venir à bout du bouchon neuf, qu’elle dépose sur le côté. Pas au bord, pour ne pas créer une quelconque gêne chez Cameron. Avec le temps, les jumeaux ont appris à reconnaître les éléments susceptibles de mettre le dernier membre de leur trio mal à l’aise ou mal dans sa peau. Il suffit parfois d’un rien et on pourrait croire qu’il est épuisant pour eux de faire constamment attention. La vérité, c’est qu’il ne s’agit que d’habitudes à prendre. Souvent maintenant, Joeïa ne réfléchit même plus. Elle sait. Bien sûr, elle apprend de nouvelles choses tous les jours car Cameron est toujours plein de surprise. Quand on croit le connaître par cœur, il vous étonne par sa nouveauté.
À peine la bouteille ouverte, elle la met entre eux et plonge presque son nez dedans. Inspire profondément. Recule presqu’aussitôt. Wow, elle ne s’attendait pas à ce que l’odeur soit si puissante ! Un mélange un peu terreux difficilement caché par la forte fragrance du vinaigre blanc, qui donnerait presque envie de pleurer tant elle pique les yeux.
« Ils comptent nettoyer le cul d’un troll avec ça ? C’est super fort ! Tu veux qu’on essaye de nettoyer quelque chose avec ? »
Fièrement, elle brandit les gants en caoutchouc qu’elle a prévu pour l’occasion. Ils sont neufs, bien entendu. Car oui, pourquoi s’embarrasser de magie quand on peut faire les choses soi-même, à mains nues ? Ce sera beaucoup plus marrant que de regarder l’éponge danser toute seule !
@Cameron Dullahan
- Cameron DullahanOldieㄨ experimented wizard
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Mer 27 Mar 2024 - 14:47
High cleaning @Joeïa Yoon
Les prunelles en amandes se rétrécirent pour mieux suivre les lignes noires courant sur la bouteille immaculée. Les mots se reportèrent dans son esprit, donnèrent l’idée d’une blague de mauvais et d’une grimace associée. Quelle erreur ! La vilaine sorcière avait osé lui pincer la langue du bout des doigts. Pire ! Elle tirait dessus et le contraignait à exagérer la grimace. Est-ce qu’il lui bavait volontairement dessus en guise de revanche ? Evidemment. En d’autres circonstances, sans doute se serait-il débattu comme un lion pour mieux venir les mordre… Ou les embrasser ? Peut-être même les deux. C’est qu’il avait été touché par le discours. Non, ce n’était pas un Calimero ! Il était juste sensible à tout, tout le temps. Le genre de tâche qui reste pour la vie. Un gigantesque sourire illumina son visage, une fois la langue mutine retournée au chaud dans sa caverne.
« Dépêche-toi ! »
L’excitation s’emmagasinait dans le corps du métamorphomage. Sa jambe s’était mise à tressauter sans qu’il ne s’en rende compte, dans un rythme vif et parfait. Ses perles ambrées, dont l’éclat doré transparaissait chaque seconde un peu plus, détaillaient avec une précision chirurgicale le moindre de ses faits et gestes. La bouteille fut tenue droite comme un I et le bouchon sauta dans la seconde, pour finir sa course à l’endroit parfait. Il n’était pas mis au centre de la table basse, puisque celui-ci était déjà occupé par un récipient fourre-tout. Non, il était posé à un endroit stratégique, à égale distance de deux bords. Ni trop près, ni trop loin. Ouf. Tiens, depuis quand retenait-il sa respiration ? Qu’importe. Une grande inspiration réussit à le mettre d’aplomb.
« Quoi ? Oui ! Non ! Attends. Je veux sentir aussi. »
Les doigts se refermèrent sur le produit d’entretien et il le porta aussitôt sous son nez. Un. Deux. Trois. Il ouvrit grand ses poumons et accueillit les effluves étranges. Wahou. Il n’avait jamais rien senti de tel. Forcément, il ouvrit ses narines de nouveau et prit une nouvelle inspiration. Scientifique d’un jour, il s’amusa à souffler du nez pour mieux se gorger de l’odeur. Ça laissait une impression étrange, comme s’il s’était frotté le visage contre de la mousse en pleine forêt. Y’avait aussi ce côté acidulé qui éveillait ses sens, le picotait de ci, de là. Il toussa un coup, avant de se mettre à rire comme un enfant. Elle venait de lui offrir un merveilleux cadeau !
« C’partie ! »
Il enfila une superbe paire de gants en plastique rose et les porta à ses yeux. Ils brillaient différemment selon la lumière. Où est-ce que c’était la fatigue qui parlait pour lui ? Non. Il n’avait pas souvenir d’avoir mal dormi. Pourtant, de petites marques rondes tournaient devant ses yeux. C’était drôle, puisque parfaitement chaotique. Comme sa bouille. La couleur des blés avait laissé sa place à l’argent. Clair. Vibrant. Etrange. Le métal coulait dans ses yeux, tachait ses cils sans même qu’il ne s’en rende compte. Avec Joe, il n’y prêtait jamais attention. C’était normal de ne pas l’être.
« Qu’est-ce qu’on frotte ? »
Il s’était relevé d’un bon et avait commencé à sauter sur place. Sans raison. Ou si ? Il l’avait fait pour mieux faire tomber le gilet. Le hic, c’était qu’il semblait incapable de s’arrêter.
« Dépêche-toi ! »
L’excitation s’emmagasinait dans le corps du métamorphomage. Sa jambe s’était mise à tressauter sans qu’il ne s’en rende compte, dans un rythme vif et parfait. Ses perles ambrées, dont l’éclat doré transparaissait chaque seconde un peu plus, détaillaient avec une précision chirurgicale le moindre de ses faits et gestes. La bouteille fut tenue droite comme un I et le bouchon sauta dans la seconde, pour finir sa course à l’endroit parfait. Il n’était pas mis au centre de la table basse, puisque celui-ci était déjà occupé par un récipient fourre-tout. Non, il était posé à un endroit stratégique, à égale distance de deux bords. Ni trop près, ni trop loin. Ouf. Tiens, depuis quand retenait-il sa respiration ? Qu’importe. Une grande inspiration réussit à le mettre d’aplomb.
« Quoi ? Oui ! Non ! Attends. Je veux sentir aussi. »
Les doigts se refermèrent sur le produit d’entretien et il le porta aussitôt sous son nez. Un. Deux. Trois. Il ouvrit grand ses poumons et accueillit les effluves étranges. Wahou. Il n’avait jamais rien senti de tel. Forcément, il ouvrit ses narines de nouveau et prit une nouvelle inspiration. Scientifique d’un jour, il s’amusa à souffler du nez pour mieux se gorger de l’odeur. Ça laissait une impression étrange, comme s’il s’était frotté le visage contre de la mousse en pleine forêt. Y’avait aussi ce côté acidulé qui éveillait ses sens, le picotait de ci, de là. Il toussa un coup, avant de se mettre à rire comme un enfant. Elle venait de lui offrir un merveilleux cadeau !
« C’partie ! »
Il enfila une superbe paire de gants en plastique rose et les porta à ses yeux. Ils brillaient différemment selon la lumière. Où est-ce que c’était la fatigue qui parlait pour lui ? Non. Il n’avait pas souvenir d’avoir mal dormi. Pourtant, de petites marques rondes tournaient devant ses yeux. C’était drôle, puisque parfaitement chaotique. Comme sa bouille. La couleur des blés avait laissé sa place à l’argent. Clair. Vibrant. Etrange. Le métal coulait dans ses yeux, tachait ses cils sans même qu’il ne s’en rende compte. Avec Joe, il n’y prêtait jamais attention. C’était normal de ne pas l’être.
« Qu’est-ce qu’on frotte ? »
Il s’était relevé d’un bon et avait commencé à sauter sur place. Sans raison. Ou si ? Il l’avait fait pour mieux faire tomber le gilet. Le hic, c’était qu’il semblait incapable de s’arrêter.
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Dim 31 Mar 2024 - 16:48
Elle n’a pas le temps d’arrêter son geste que Cameron a déjà le nez au-dessus du goulot. C’est qu’elle est prise d’une irrésistible envie de rire et concentre toute son énergie à se retenir. Même les gants dans ses mains semblent s’amuser de cette situation. Elle en enfile une paire et se touche le visage avec. Ohlala, c’est tout doux ! Joe sourit bêtement en continuant de se frotter les joues. Quand elle abaisse les bras, Cameron a aussi enfilé sa paire de gants et s’est métamorphosé en Surfeur d’Argent, c’est assez drôle ! Est-ce qu’il s’en rend compte ? Elle a envie de frotter son visage avec le produit pour voir si ça changerait quelque chose. La question met quelques minutes avant de monter jusqu’à son cerveau. Joeïa regarde tout autour d’elle. Son appartement n’est ni trop propre, ni trop en bordel. Elle n’est pas maniaque, encore moins souillon. Mais en prévision, elle s’est arrangée pour ne pas laver tout de suite certains meubles, donc des vasques d’évier et de lavabo. Ce dernier a des tâches de mascara, de liner ou de poudre pour les yeux, quand elle s’énerve trop et balance son matos dedans. C’est que louper son deuxième liner quand le premier est parfait, c’est très frustrant !
Elle éclate de rire en voyant Cameron sauter partout, si bien qu’elle en oublie momentanément la question posée.
« Kangourouuuuu » hurle-t-elle en l’imitant, sentant une incroyable énergie envahir ses muscles.
Heureusement que Joshua n’est pas là, il les maudirait à les entendre sauter comme des fous au-dessus de sa tête. Peut-être que ça l’aurait fait venir, ceci dit. Plus on est de fous, plus on rit ! Quand l’essoufflement pointe le bout de son nez – tardivement vu son endurance de danseuse – elle cale sa tête entre ses jambes avant de la relever d’un sursaut.
« OH MON DIEU JE SAIS ! On va nettoyer les carreaux par teeeerre ! Regarde !! »
Elle attrape Cameron par le poignet et, comme à son habitude, le traîne à sa suite jusqu’à la salle de bain dont le carrelage est composé de petits carrés (et de vrais carrés, pas ceux qui ressemblent à des rectangles…).
« Je parie que je peux en nettoyer plus que toi ! »
Joe retourne chercher la bouteille en courant et revient presque aussi vite. Elle fout une éponge dans la main du sorcier qu’elle a préalablement badigeonné de produit récurent. Une fois fait de même avec la sienne, elle se met à quatre pattes par terre, un air de défi dans le regard.
« A vos marques… prêt... GO GO GO ! »
Et elle frotte, frotte, frotte à s’en faire mal au bras, riant aussi fort que l’éponge astique le premier carreau. Et quand c’est fait, elle hurle « UN ! » puis « DEUX ! » et ainsi de suite, riant toujours plus quand les effluves de la tentacula remontent jusqu’à ses narines.
@Cameron Dullahan
Elle éclate de rire en voyant Cameron sauter partout, si bien qu’elle en oublie momentanément la question posée.
« Kangourouuuuu » hurle-t-elle en l’imitant, sentant une incroyable énergie envahir ses muscles.
Heureusement que Joshua n’est pas là, il les maudirait à les entendre sauter comme des fous au-dessus de sa tête. Peut-être que ça l’aurait fait venir, ceci dit. Plus on est de fous, plus on rit ! Quand l’essoufflement pointe le bout de son nez – tardivement vu son endurance de danseuse – elle cale sa tête entre ses jambes avant de la relever d’un sursaut.
« OH MON DIEU JE SAIS ! On va nettoyer les carreaux par teeeerre ! Regarde !! »
Elle attrape Cameron par le poignet et, comme à son habitude, le traîne à sa suite jusqu’à la salle de bain dont le carrelage est composé de petits carrés (et de vrais carrés, pas ceux qui ressemblent à des rectangles…).
« Je parie que je peux en nettoyer plus que toi ! »
Joe retourne chercher la bouteille en courant et revient presque aussi vite. Elle fout une éponge dans la main du sorcier qu’elle a préalablement badigeonné de produit récurent. Une fois fait de même avec la sienne, elle se met à quatre pattes par terre, un air de défi dans le regard.
« A vos marques… prêt... GO GO GO ! »
Et elle frotte, frotte, frotte à s’en faire mal au bras, riant aussi fort que l’éponge astique le premier carreau. Et quand c’est fait, elle hurle « UN ! » puis « DEUX ! » et ainsi de suite, riant toujours plus quand les effluves de la tentacula remontent jusqu’à ses narines.
@Cameron Dullahan
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Jeu 4 Avr 2024 - 10:48
High cleaning @Joeïa Yoon
Cameron n’avait aucune fichue idée de ce qui pouvait bien se passer dans son corps. La seule chose dont il était certain, c’était qu’une chose merveilleuse s’y était insinué subrepticement pour stimuler… Tout ce qui pouvait l’être. Ou presque. Ses muscles étaient tendus à l’excès et une énergie débordante s’y accumulait. Elle grandissait tant et si bien qu’il s’était senti obligé de l’évacuer en sautant à travers le salon. Une vraie pile électrique. S’il y avait un reliquat de fatigue, celui-ci avait été purement et simplement rayé de la carte. Zou ! Comme ça. En un claquement de doigt.
Il sursauta haut et fort en entendant Joeïa crier. La faute à une sensibilité folle, foutrement exacerbée. Il en avait presque senti son tympan vibrer ! Ou peut-être que c’était simplement la faute du sang qui y pulsait à vive allure, non loin ? Son cœur battait la chamade. Il l’ e n t e n d a i t. Ca aurait pu l’angoisser… Non ! Rectification. Ça aurait dû, mais son attention fut aussitôt reportée ailleurs.
« Où çaaaaa ? » L’homme-ressort cessa son curieux manège et plissa ses yeux en amande. Il fronça les sourcils, le nez… Vigilance constante ! Comment un kangourou aurait pu pénétrer dans l’appartement de cette âme sœur ? Par l’escalier ! lui murmura une voix qu’il pensait être intérieur. Mais la porte ? Ca a des mains, pardi chuchota-t-il de nouveau avec une voix emprunté au plus mauvais doubleur.
Il porta ses mains à son visage et forma deux cercles en pinçant pouces et index. Voilà, des jumelles de qualité ! Ses grands yeux y prirent place et il se mit à fouiller l’appartement tout en claquant sa langue, sifflotant et appâtant le rongeur gigantesque à l’aide de "petit, petit". Ses pas finirent par le porter aux côtés de la sorcière, bloquée dans une position qu’il trouvait hilarante.
« C’est pas en faisant l’autruche que tu pourras attraper un karougo- ARGH ! » C’est sur les fesses que le métamorphomage atterrît. Les pauvres marmonna-t-il de son affreuse petite voix. Est-ce qu’il aurait droit à un massage pour sa peine ? Il entrouvrit la bouche pour mieux balbutier. L’idée, ravissante à souhait, s’était perdue en cours de chemin. C’était que sa proposition était nettement plus intéressante !
« OH OUAI-HEEEEEY ! » Son regard se porta sur la main manucurée, puis sur son poignet, puis sur son bras tiré et… Oh ! OOOOH ! Ses jambes n’avaient pas compris qu’elles devaient suivre. Mince ! Elles ne fonctionnaient pas toutes seules d’habitude ? Feignasses ! Droite. Gauche. Droite. Droite. Droite. C’était drôle de le faire à croche pied aussi. Croyez-le ou non, mais Cam se découvrait avoir le goût du risque. Vaut mieux tard que jamais.
« CA GOUTTE PAR TERRE ! » Il criait le bougre, cassait sa voix contre la pauvre éponge. En même temps, bien sûr que ça coulait vu comme il la pressait de ses dix doigts.
Il se mit à genoux prêt de l’océan de produit ainsi créé -une micro flaque, quoi, et se mit à pousser le liquide de part et d’autre pour qu’il recouvre entièrement un carré. Aucun coin ne devait être oublié. Est-ce qu’il s’en était approché au point d’en avoir le nez à quelque centimètre ? Oui, mais il n’en était que plus précis.
« GO ! » Il se mit à récurer comme si ça vie en dépendant, enchainait les carreaux, insistait sur les joints puis… Il rencontra une tache. Ou un pet ? Ou une tache dans un pet ? Qu’importe le nom. Ca restait un bug dans la matrice. Il frotta fort avec l’éponge puis la jeta pour gratter du bout de ses doigts. Le monde autour de lui se mit à tanguer gentiment, lui donnant l’impression de se trouver sur un bateau. Ca le fit rire, bien sûr, mais il se reprit vite. Soyons sérieux ! C’était qu’il avait une mission d’une grande importance à accomplir.
« Un grand pouvoir implique de grandes respissabi-respobilité… ARGH ! CA VEUT PAS PARTIR CETTE MERDE ! »
Il jeta furieusement ses gants au sol, comme le ferait n’importe quel héros hautement dramatique. L’adversité était forte, mais il la surpasserait. Il le devait ! Courage soldat ! L’Arc-en-ciel se jeta de de plus belle sur la tâche, son dos cambré pour mieux y coller le nez. L’ongle racla le carrelage avec soin. Son attention portée à la cible était telle qu’il en oublia toute compétition. Cette tâche, cette rivale diabolique, l’avait captivé tout entier. En témoigne sa tignasse devenue bleu électrique et ses yeux, s’ils daignaient les décoller du sol.
« JE VAIS CHERCHER DE QUOI GRATTER ! » Cameron se redressa d’un bon et manqua de perdre l’équilibre. Pas une. Pas deux. Mais bien quatre fois. Hein ? Il ne manquait pas quelque chose à son calcul là ? Il y réfléchirait plus tard. Là, il était trop occupé à rebondir contre les différents murs de l’appartement, puisqu’incapable de marcher droit. Est-ce qu’on pouvait même appeler ça comme ça, sachant qu’il venait de finir sa course à quatre pattes tant son rire le pliait en deux ?
Ses mains tapotèrent les placards, tiroirs puis le plan de travail de la cuisine. Il lui fallait quelque chose de pointu, piquant, coupant et tranchant. Il lui fallait…
« BINGO ! » Il tendit fièrement une cuillère à soupe, avant de finir de nouveau sur les fesses et de râler, à coup de « Je vais avoir le cul plat à force. »
Il sursauta haut et fort en entendant Joeïa crier. La faute à une sensibilité folle, foutrement exacerbée. Il en avait presque senti son tympan vibrer ! Ou peut-être que c’était simplement la faute du sang qui y pulsait à vive allure, non loin ? Son cœur battait la chamade. Il l’ e n t e n d a i t. Ca aurait pu l’angoisser… Non ! Rectification. Ça aurait dû, mais son attention fut aussitôt reportée ailleurs.
« Où çaaaaa ? » L’homme-ressort cessa son curieux manège et plissa ses yeux en amande. Il fronça les sourcils, le nez… Vigilance constante ! Comment un kangourou aurait pu pénétrer dans l’appartement de cette âme sœur ? Par l’escalier ! lui murmura une voix qu’il pensait être intérieur. Mais la porte ? Ca a des mains, pardi chuchota-t-il de nouveau avec une voix emprunté au plus mauvais doubleur.
Il porta ses mains à son visage et forma deux cercles en pinçant pouces et index. Voilà, des jumelles de qualité ! Ses grands yeux y prirent place et il se mit à fouiller l’appartement tout en claquant sa langue, sifflotant et appâtant le rongeur gigantesque à l’aide de "petit, petit". Ses pas finirent par le porter aux côtés de la sorcière, bloquée dans une position qu’il trouvait hilarante.
« C’est pas en faisant l’autruche que tu pourras attraper un karougo- ARGH ! » C’est sur les fesses que le métamorphomage atterrît. Les pauvres marmonna-t-il de son affreuse petite voix. Est-ce qu’il aurait droit à un massage pour sa peine ? Il entrouvrit la bouche pour mieux balbutier. L’idée, ravissante à souhait, s’était perdue en cours de chemin. C’était que sa proposition était nettement plus intéressante !
« OH OUAI-HEEEEEY ! » Son regard se porta sur la main manucurée, puis sur son poignet, puis sur son bras tiré et… Oh ! OOOOH ! Ses jambes n’avaient pas compris qu’elles devaient suivre. Mince ! Elles ne fonctionnaient pas toutes seules d’habitude ? Feignasses ! Droite. Gauche. Droite. Droite. Droite. C’était drôle de le faire à croche pied aussi. Croyez-le ou non, mais Cam se découvrait avoir le goût du risque. Vaut mieux tard que jamais.
« CA GOUTTE PAR TERRE ! » Il criait le bougre, cassait sa voix contre la pauvre éponge. En même temps, bien sûr que ça coulait vu comme il la pressait de ses dix doigts.
Il se mit à genoux prêt de l’océan de produit ainsi créé -une micro flaque, quoi, et se mit à pousser le liquide de part et d’autre pour qu’il recouvre entièrement un carré. Aucun coin ne devait être oublié. Est-ce qu’il s’en était approché au point d’en avoir le nez à quelque centimètre ? Oui, mais il n’en était que plus précis.
« GO ! » Il se mit à récurer comme si ça vie en dépendant, enchainait les carreaux, insistait sur les joints puis… Il rencontra une tache. Ou un pet ? Ou une tache dans un pet ? Qu’importe le nom. Ca restait un bug dans la matrice. Il frotta fort avec l’éponge puis la jeta pour gratter du bout de ses doigts. Le monde autour de lui se mit à tanguer gentiment, lui donnant l’impression de se trouver sur un bateau. Ca le fit rire, bien sûr, mais il se reprit vite. Soyons sérieux ! C’était qu’il avait une mission d’une grande importance à accomplir.
« Un grand pouvoir implique de grandes respissabi-respobilité… ARGH ! CA VEUT PAS PARTIR CETTE MERDE ! »
Il jeta furieusement ses gants au sol, comme le ferait n’importe quel héros hautement dramatique. L’adversité était forte, mais il la surpasserait. Il le devait ! Courage soldat ! L’Arc-en-ciel se jeta de de plus belle sur la tâche, son dos cambré pour mieux y coller le nez. L’ongle racla le carrelage avec soin. Son attention portée à la cible était telle qu’il en oublia toute compétition. Cette tâche, cette rivale diabolique, l’avait captivé tout entier. En témoigne sa tignasse devenue bleu électrique et ses yeux, s’ils daignaient les décoller du sol.
« JE VAIS CHERCHER DE QUOI GRATTER ! » Cameron se redressa d’un bon et manqua de perdre l’équilibre. Pas une. Pas deux. Mais bien quatre fois. Hein ? Il ne manquait pas quelque chose à son calcul là ? Il y réfléchirait plus tard. Là, il était trop occupé à rebondir contre les différents murs de l’appartement, puisqu’incapable de marcher droit. Est-ce qu’on pouvait même appeler ça comme ça, sachant qu’il venait de finir sa course à quatre pattes tant son rire le pliait en deux ?
Ses mains tapotèrent les placards, tiroirs puis le plan de travail de la cuisine. Il lui fallait quelque chose de pointu, piquant, coupant et tranchant. Il lui fallait…
« BINGO ! » Il tendit fièrement une cuillère à soupe, avant de finir de nouveau sur les fesses et de râler, à coup de « Je vais avoir le cul plat à force. »
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- Joeïa YoonMODO - Modératrice
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» miroir du riséd : hwang yeji
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» multinick : maximus / arty / keir
» âge : vingt-quatre ans
» situation : célibataire
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives :
✧ options obligatoires : / ✧ options facultatives : /
» profession : assistante du professeur d'arts scéniques / sirène au Styx
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 5559
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Jeu 11 Avr 2024 - 14:58
Joe sent son cœur battre à toute vitesse et plutôt que de s’en inquiéter, hoche la tête en rythme. Son bras suit le mouvement et frotte jusqu’à ce qu’elle en ait mal aux muscles. Continue toujours. Et elle compte, compte et compte encore jusqu’à arriver au chiffre seize et ne plus se souvenir de celui qui vient après. Bah mince alors, il y a quoi après seize ? Elle se redresse sur ses genoux désormais trempés, l’éponge gouttant sur son pantalon et le produit formant déjà des tâches sur le tissu qui ne partiront probablement jamais. L’index posé sur son menton, elle se met à bouder, au bord des larmes puisqu’il lui est impossible de se souvenir du nombre venant apr…
« DIX-SEPT !!!!! »
Nouveau hurlement suivi de celui de Cameron. Elle le regarda en riant alors qu’il s’acharnait sur un bout de sol parfaitement propre où absolument rien ne traînant. À ses yeux du moins. De toute façon, ça importe peu puisque ses yeux sont irrémédiablement attirés par la couleur vibrante illuminant le sorcier. Un beau bleu électrique qui donne de drôles de reflets au carrelage. Joe est hypnotisée. C’est sûrement la plus belle chose qu’elle ait vu depuis des années ! La bouche à moitié entrouverte, les gants à ses mains posés sur ses genoux, elle louche un peu sans le quitter du regard.
Et puis, d’un coup, la boule bleue se redressa et rebondit contre les parois de l’appartement. Rebondissements que Joe accompagna de sa tête en riant bêtement. Elle voulait lui courir après. Elle allait lui courir après tiens !
« JE VAIS T’ATTRAPPER BLEUET ! »
Sa clameur accompagna ses gestes. Elle ripa sur le sol mouillé de la salle de bain et se rattrapa de justesse au lavabo, contre lequel elle manqua de se taper le menton. Ouuuuups ! La deuxième fois, elle arrive à se redresser sur ses pieds, baisse la tête sur son pantalon et fait la moue.
« Oooooh noooooooon ma jolie robe toute fichuuuuuuuue… »
Les larmes lui montent aux yeux parce qu’elle aime bien cette robe – enfin, ce pantalon. Elles sont vite arrêtées par le bruit dans la cuisine et le souvenir de la boule bleue électrique partie sans elle. Il faut l’attraper ! Alors, tout en chantonnant le générique de Pokemon d’une voix nasillarde et entrecoupée de hoquets, elle se précipite jusqu’à l’autre pièce. Elle est là, au sol et Joe se jette dessus sans égard pour l’ustensile tranchant dans la main de Cameron qui pourrait méchamment la couper.
« OUIIIII JE T’AI EUUUUUUUU ! CHAT ! »
Ses pieds mouillés rencontrent à nouveau le sol quand elle essaye de se relever – décidément, ce n’est jamais chosé aisé ! – et elle glisse sur le sorcier plusieurs fois. Plutôt que de s’acharner, elle attrape ses cheveux à pleines mains et fourre son nez dedans.
« C’est trop biauuuuuuuuuuu ! Pestaculaire ! Mmmh en plus cha chen bon… »
@Cameron Dullahan
« DIX-SEPT !!!!! »
Nouveau hurlement suivi de celui de Cameron. Elle le regarda en riant alors qu’il s’acharnait sur un bout de sol parfaitement propre où absolument rien ne traînant. À ses yeux du moins. De toute façon, ça importe peu puisque ses yeux sont irrémédiablement attirés par la couleur vibrante illuminant le sorcier. Un beau bleu électrique qui donne de drôles de reflets au carrelage. Joe est hypnotisée. C’est sûrement la plus belle chose qu’elle ait vu depuis des années ! La bouche à moitié entrouverte, les gants à ses mains posés sur ses genoux, elle louche un peu sans le quitter du regard.
Et puis, d’un coup, la boule bleue se redressa et rebondit contre les parois de l’appartement. Rebondissements que Joe accompagna de sa tête en riant bêtement. Elle voulait lui courir après. Elle allait lui courir après tiens !
« JE VAIS T’ATTRAPPER BLEUET ! »
Sa clameur accompagna ses gestes. Elle ripa sur le sol mouillé de la salle de bain et se rattrapa de justesse au lavabo, contre lequel elle manqua de se taper le menton. Ouuuuups ! La deuxième fois, elle arrive à se redresser sur ses pieds, baisse la tête sur son pantalon et fait la moue.
« Oooooh noooooooon ma jolie robe toute fichuuuuuuuue… »
Les larmes lui montent aux yeux parce qu’elle aime bien cette robe – enfin, ce pantalon. Elles sont vite arrêtées par le bruit dans la cuisine et le souvenir de la boule bleue électrique partie sans elle. Il faut l’attraper ! Alors, tout en chantonnant le générique de Pokemon d’une voix nasillarde et entrecoupée de hoquets, elle se précipite jusqu’à l’autre pièce. Elle est là, au sol et Joe se jette dessus sans égard pour l’ustensile tranchant dans la main de Cameron qui pourrait méchamment la couper.
« OUIIIII JE T’AI EUUUUUUUU ! CHAT ! »
Ses pieds mouillés rencontrent à nouveau le sol quand elle essaye de se relever – décidément, ce n’est jamais chosé aisé ! – et elle glisse sur le sorcier plusieurs fois. Plutôt que de s’acharner, elle attrape ses cheveux à pleines mains et fourre son nez dedans.
« C’est trop biauuuuuuuuuuu ! Pestaculaire ! Mmmh en plus cha chen bon… »
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» multinick : Apsa la dancin'queen / Lewis le Grumpy Cat
» âge : 22
» situation : Célibataire
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» options obligatoires & facultatives : ★ Anxiété
★ Hypersensibilité
★ Amour disproportionné
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Lun 22 Avr 2024 - 18:29
High cleaning @Joeïa Yoon
« T’as qu’à te mettre toute blue. Youte mue. TOUTE NUUUE ! Han. Fais un effort.»
Il rit fort Cameron ! Si fort qu’il allait s’en péter le bide. Non, ce n’était pas ça l’expression. LE FRONT ! Oui, c’était forcément ça puisqu’il ne cessait de le taper contre le carrelage de la cuisine. A croire qu’il s’était transformé en réveille-matin survolté. Ses épaules tressautaient et ses abdominaux… Par tous les caleçons usagés de Merlin ! Qu’est-ce qu’ils lui faisaient mal. Il était plié de rire, d’où la douleur au front. Avec sa chance, il allait écoper d’une vilane bosse et… OH MAIS OUAI !
« Je suis une licorne ! » En devenir, se moqua le Jiminy Cricket fluorescent qui laissait ses jambes pendouiller à son épaule. « ARGH ! Sale bête. » Il se redressa. Tomba. Sauta. Tomba. Se cramponna, et réussit à tenir debout à la façon d’un équilibriste. One. Dos. Trois. Ok. Il tenait plat-rfaitement bien : à deux doigts de faire un plat, mais repoussant la gravité avec une chance éhontée. Il épousseta ses épaules, chercha le vilain criquet mais rien. Il était partie. Peut-être que Némo avait besoin de lui ? Il l’aimait bien ce poisson. Il était tout cassé, mais terriblement mignon. Comme lui. Puis il avait une amie terriblement frapadingue ! Attends. Non. Ca c’était son père. Non, non, non ! Il ne voulait pas ressembler à Marin ! Quoiqu’il était anxieux et Cam, ça lui parlait. Un peu. Beaucoup. Roh merde alors ! Il était un poisson, pas une licrone. Limone. Arf. Le truc cool des princesses ! Oh. Ca pourrait être cool d’être une princesse aussi.
« JOE ! DEVIENS MON PRINCE ! » hurla-t-il sans même calculer que, non, son visage n’était pas exagérément gros mais bel et bien juste à côté du sien. Wahou ! Même de prêt, elle était belle. Elle l’avait toujours été d’ailleurs. Forcément, ce constat le faire sourire comme un benêt et il abat aussitôt son épée magique -la fameuse cuillère en bois, sur les fesses de la danseuse.
« C’EST TOI L’MATOU ! VILAINE MINETTE ! » C’est que le rire le secouait encore plus fort, et il dut serrer fort ses bras autour de son buste pour… Pour ? Il n’en savait foutrement rien. Au moins, ça l’avait protégé des chutes répétées de sa sœur de cœur.
« Un chat, cha retombe touchour sur ses pa-AAAAÏEUH ! » L’arc-en-ciel fronça fort les sourcils, plus surpris que réellement blessé par la poigne de la sorcière. Elle lui avait déjà fait pire. Il avait aimé ça aussi. Certaines fois. Souvent. Peut-être même maintenant ? Elle était belle, même de près. Comment ça, il se répétait ? Putain. C’était vraiment Marin.
« T’aimes ? Attends. J’te les offre ! » Est-ce qu’il essayait vraiment de couper une grosse mèche de cheveux bleus à l’aide du manche en bois de la cuillère ? Yep. Il y mettait du cœur en plus. Il avait beau faire et tirer, tirer dessus, ça ne marchait pas. Ça commençait même à lui piquer sévèrement le crâne. Alors il gigotait le bougre, tapait du pied et du poing, comme si ça pouvait l’aider.
« Ça fonctionne paaaaas ! » Gamin frustré, il jeta son arme non-contondante à travers la pièce. Quelque chose se brisa. Il se tût. Puis rit. Encore et encore ! Ca l’emportait, lui et son chagrin passager. Il tira à son tour sur les longueurs rouges, opta pour une moue dont il connaissait l’effet dévastateur, et susurra…
« J’AI ENVIE DE TOI ! » Ok, si même les voisins ont pu l’entendre, pas sûr qu’il se soit montré si discret que ça… Il avait la gaule aussi, un sérieux mal de tête et une envie folle de manger du melon. C'était pas de sa faute s'il manquait de subitibité. Sumitivité. SUBTILITE.
Il rit fort Cameron ! Si fort qu’il allait s’en péter le bide. Non, ce n’était pas ça l’expression. LE FRONT ! Oui, c’était forcément ça puisqu’il ne cessait de le taper contre le carrelage de la cuisine. A croire qu’il s’était transformé en réveille-matin survolté. Ses épaules tressautaient et ses abdominaux… Par tous les caleçons usagés de Merlin ! Qu’est-ce qu’ils lui faisaient mal. Il était plié de rire, d’où la douleur au front. Avec sa chance, il allait écoper d’une vilane bosse et… OH MAIS OUAI !
« Je suis une licorne ! » En devenir, se moqua le Jiminy Cricket fluorescent qui laissait ses jambes pendouiller à son épaule. « ARGH ! Sale bête. » Il se redressa. Tomba. Sauta. Tomba. Se cramponna, et réussit à tenir debout à la façon d’un équilibriste. One. Dos. Trois. Ok. Il tenait plat-rfaitement bien : à deux doigts de faire un plat, mais repoussant la gravité avec une chance éhontée. Il épousseta ses épaules, chercha le vilain criquet mais rien. Il était partie. Peut-être que Némo avait besoin de lui ? Il l’aimait bien ce poisson. Il était tout cassé, mais terriblement mignon. Comme lui. Puis il avait une amie terriblement frapadingue ! Attends. Non. Ca c’était son père. Non, non, non ! Il ne voulait pas ressembler à Marin ! Quoiqu’il était anxieux et Cam, ça lui parlait. Un peu. Beaucoup. Roh merde alors ! Il était un poisson, pas une licrone. Limone. Arf. Le truc cool des princesses ! Oh. Ca pourrait être cool d’être une princesse aussi.
« JOE ! DEVIENS MON PRINCE ! » hurla-t-il sans même calculer que, non, son visage n’était pas exagérément gros mais bel et bien juste à côté du sien. Wahou ! Même de prêt, elle était belle. Elle l’avait toujours été d’ailleurs. Forcément, ce constat le faire sourire comme un benêt et il abat aussitôt son épée magique -la fameuse cuillère en bois, sur les fesses de la danseuse.
« C’EST TOI L’MATOU ! VILAINE MINETTE ! » C’est que le rire le secouait encore plus fort, et il dut serrer fort ses bras autour de son buste pour… Pour ? Il n’en savait foutrement rien. Au moins, ça l’avait protégé des chutes répétées de sa sœur de cœur.
« Un chat, cha retombe touchour sur ses pa-AAAAÏEUH ! » L’arc-en-ciel fronça fort les sourcils, plus surpris que réellement blessé par la poigne de la sorcière. Elle lui avait déjà fait pire. Il avait aimé ça aussi. Certaines fois. Souvent. Peut-être même maintenant ? Elle était belle, même de près. Comment ça, il se répétait ? Putain. C’était vraiment Marin.
« T’aimes ? Attends. J’te les offre ! » Est-ce qu’il essayait vraiment de couper une grosse mèche de cheveux bleus à l’aide du manche en bois de la cuillère ? Yep. Il y mettait du cœur en plus. Il avait beau faire et tirer, tirer dessus, ça ne marchait pas. Ça commençait même à lui piquer sévèrement le crâne. Alors il gigotait le bougre, tapait du pied et du poing, comme si ça pouvait l’aider.
« Ça fonctionne paaaaas ! » Gamin frustré, il jeta son arme non-contondante à travers la pièce. Quelque chose se brisa. Il se tût. Puis rit. Encore et encore ! Ca l’emportait, lui et son chagrin passager. Il tira à son tour sur les longueurs rouges, opta pour une moue dont il connaissait l’effet dévastateur, et susurra…
« J’AI ENVIE DE TOI ! » Ok, si même les voisins ont pu l’entendre, pas sûr qu’il se soit montré si discret que ça… Il avait la gaule aussi, un sérieux mal de tête et une envie folle de manger du melon. C'était pas de sa faute s'il manquait de subitibité. Sumitivité. SUBTILITE.
Codage par Libella sur Graphiorum
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Mer 24 Avr 2024 - 21:08
« MAIS AAAAIEUH MES FEEEECHES ! CHESSES ! MON CUL ! ON PLANTE PAS SON PRINCE COMME CA ! »
Là, c’est certain, tout l’immeuble les entend. Ou alors, tout l’immeuble a besoin d’un appareil auditif. Ils rient et crient si fort que ça en devient un capharnaüm insupportable. Même une bande de perroquets les trouveraient bruyant... Joe cale son nez contre la chevelure électrique de l’artiste tatoueur et le renifle comme on reniflerait une ligne de coke. Avec beaucoup d’intensité et une forte volonté. Cela l’enivre tout autant, si ce n’est plus. Ou est-ce les effluves de tentacula sur ses gants qui en sont l’origine ? Bien loin de s’en préoccuper, elle sniffe encore puis se redresse un peu.
Elle le regarde, bouche bée - mais genre, vraiment la bouche grande ouverte et les yeux comme ceux d’un poisson rouge - essayer de découper une mèche de ses beaux cheveux. Pour elle. POUR ELLE !!! Cet amour la touche si fort qu’elle manque de pleurer. Ah non, en fait, elle se met à pleurer, la main devant la bouche. Et puis, tout à coup, elle est horrifiée et une sourde colère s’empare d’elle.
« Mais faut pas faire ça ARRETE ! Tes beaux cheveux, j’veux pas que tu coupes ! Après il faudra les enterrer et chanter pour eux... et... et... et moi j’veux pas que mon Pikanic il perde ses poils ! »
Petit hoquet qui la fait sursauter sur Cameron. C’est que, quand elle le voit, elle a un drôle mélange de Pikachu et Sonic en tête. C’est cute. A côté d’elle, l’ustensile vole et disparaît elle ne sait où. Meh, pas important. Elle rie déjà de nouveau, toujours sans savoir pourquoi. Peut-être parce que lui aussi rie et que son bonheur contribue fortement au sien. Presque systématiquement. Petit rayon de soleil de sa vie, elle aime tellement le voir sourire ! Là, tout de suite, elle a envie de le toucher, de l’embrasser de partout. Son contact est si différent, sa main le touche et c’est comme s’il était fait de sucre. Elle a envie de le lécher, ça y est. A la place, Joe poke ses tâches de rousseur, incroyablement séduisantes et semblant voler au-dessus de ses pommettes au plus elle les regarde, lorsque jaillie l’envie. Hurlée. Là, elle voit sa moue. Cette petite moue qu’elle connaît et reconnaît. Il n’a même pas fini sa phrase qu’elle a déjà retiré son haut plus vite que Lucky Luke tire ses balles. Sous elle, l’ardeur se fait sentir. Elle rit fort. Son coeur bat si vite, elle ne sait même pas à quoi c’est dû.
« Je vais t’secouer si fort que tu pourras pas te lever après Pika pika ! »
Elle laisse passer un petit grognement entre ses dents, venu de sa gorge et fait mine de dévorer la peau de Cameron. Puis, le fait vraiment. Mord par-ci par-là, rit comme une hyène lorsqu’elle se trompe - bah oui, elle voulait embrasser sa bouche et a fini sur son œil, rien de plus normal. Et puis, quand elle claque ses lèvres sur les siennes, Joe ne s’embarrasse d’aucune délicatesse. Pas le temps. Le temps presse, elle le sent, elle le sait ! Son corps va exploser. Il y aura des morceaus de Joe partout. Oh mon dieu, et si elle ne récupère pas sa caution à cause de ça ? MERDE ! Elle se redresse d’un coup.
« ENLEVE TON PATARON. On va le salir. On va touuuuut salir ! Et faudra tout laver ! Oh, mais j’te connais toi... »
Elle baisse les yeux, sourit d’un bout à l’autre du visage. Une lueur de malice vient illuminer son iris, qu’elle relève vers Cameron.
« Baby Pikachu est en forme... ELECTRISE-MOI ! »
@Cameron Dullahan
Là, c’est certain, tout l’immeuble les entend. Ou alors, tout l’immeuble a besoin d’un appareil auditif. Ils rient et crient si fort que ça en devient un capharnaüm insupportable. Même une bande de perroquets les trouveraient bruyant... Joe cale son nez contre la chevelure électrique de l’artiste tatoueur et le renifle comme on reniflerait une ligne de coke. Avec beaucoup d’intensité et une forte volonté. Cela l’enivre tout autant, si ce n’est plus. Ou est-ce les effluves de tentacula sur ses gants qui en sont l’origine ? Bien loin de s’en préoccuper, elle sniffe encore puis se redresse un peu.
Elle le regarde, bouche bée - mais genre, vraiment la bouche grande ouverte et les yeux comme ceux d’un poisson rouge - essayer de découper une mèche de ses beaux cheveux. Pour elle. POUR ELLE !!! Cet amour la touche si fort qu’elle manque de pleurer. Ah non, en fait, elle se met à pleurer, la main devant la bouche. Et puis, tout à coup, elle est horrifiée et une sourde colère s’empare d’elle.
« Mais faut pas faire ça ARRETE ! Tes beaux cheveux, j’veux pas que tu coupes ! Après il faudra les enterrer et chanter pour eux... et... et... et moi j’veux pas que mon Pikanic il perde ses poils ! »
Petit hoquet qui la fait sursauter sur Cameron. C’est que, quand elle le voit, elle a un drôle mélange de Pikachu et Sonic en tête. C’est cute. A côté d’elle, l’ustensile vole et disparaît elle ne sait où. Meh, pas important. Elle rie déjà de nouveau, toujours sans savoir pourquoi. Peut-être parce que lui aussi rie et que son bonheur contribue fortement au sien. Presque systématiquement. Petit rayon de soleil de sa vie, elle aime tellement le voir sourire ! Là, tout de suite, elle a envie de le toucher, de l’embrasser de partout. Son contact est si différent, sa main le touche et c’est comme s’il était fait de sucre. Elle a envie de le lécher, ça y est. A la place, Joe poke ses tâches de rousseur, incroyablement séduisantes et semblant voler au-dessus de ses pommettes au plus elle les regarde, lorsque jaillie l’envie. Hurlée. Là, elle voit sa moue. Cette petite moue qu’elle connaît et reconnaît. Il n’a même pas fini sa phrase qu’elle a déjà retiré son haut plus vite que Lucky Luke tire ses balles. Sous elle, l’ardeur se fait sentir. Elle rit fort. Son coeur bat si vite, elle ne sait même pas à quoi c’est dû.
« Je vais t’secouer si fort que tu pourras pas te lever après Pika pika ! »
Elle laisse passer un petit grognement entre ses dents, venu de sa gorge et fait mine de dévorer la peau de Cameron. Puis, le fait vraiment. Mord par-ci par-là, rit comme une hyène lorsqu’elle se trompe - bah oui, elle voulait embrasser sa bouche et a fini sur son œil, rien de plus normal. Et puis, quand elle claque ses lèvres sur les siennes, Joe ne s’embarrasse d’aucune délicatesse. Pas le temps. Le temps presse, elle le sent, elle le sait ! Son corps va exploser. Il y aura des morceaus de Joe partout. Oh mon dieu, et si elle ne récupère pas sa caution à cause de ça ? MERDE ! Elle se redresse d’un coup.
« ENLEVE TON PATARON. On va le salir. On va touuuuut salir ! Et faudra tout laver ! Oh, mais j’te connais toi... »
Elle baisse les yeux, sourit d’un bout à l’autre du visage. Une lueur de malice vient illuminer son iris, qu’elle relève vers Cameron.
« Baby Pikachu est en forme... ELECTRISE-MOI ! »
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Mar 30 Avr 2024 - 17:17
High cleaning @Joeïa Yoon
TW : Nudité et touche-pipi (sous hide )
« Mais ! MAIS ! Je veux te faire plaisir moi. C’EST DE LA MERDE CE COUTEAU ! »
Cameron laissa ses traits fondre, comme atteint par l’acide. Il boudait fort, son petit cœur peiné de ne pouvoir offrir ce cadeau schtroumpfesque à la belle. En plus, elle pleurait ! HAN. Lui aussi, ça lui donnait envie de pleurer. Et de rire ! ARGH. C’était si dur de tout faire en même temps. De quoi s’arracher les cheveux, tiens. Non. Stop. Joe d’amour avait dit non et non, c’est non. Alors il renifla fooooort l’arc-en-ciel et ravala le chagrin. Il s’étouffa. Toussa. Vibra. Les constellations éparses virèrent au bleu criard, comme ses prunelles mouillées qu’il laissait courir le long de son visage.
« Oh. T’as les mains balabeuses. Bananeuse… BALADEUSES ! » Qu’il crie, puisque chuchoter semblait engourdir sa pauvre langue. La satisfaction marqua sa bouille, démontrant au combien l’idée d’effrayer les passants avec ses hurlements lui importait peu. Il n’était même pas capable d’établir un lien voix-fenêtre ouverte-extérieur. Il n’y avait que Joe et les paillettes qui tournaient tout autour d’elle. C’était si beau ! Son bras se tendit, la main s’agita mais non, c’était impossible de les attraper. C’était rigolo. Plus il inspirait la bonne odeur de vinaigre et plus les étoiles grossissaient.
Nouveaux cris : de désir, de plaisir. Les cils papillonnaient à tout va tant il était subjugué par ce qu’il voyait. L’Amour personnifié, poitrine à peine dévoilée. C’était magnifique. Appétissant. Les doigts gagnèrent le ventre à la vitesse de la lumière et y tracèrent mille et une arabesque. La bouche s’activa à son tour et attrapa l’affreux soutiens en grognant. Ou riant ? Un peu des deux, sans doute. Il était heureux comme un gosse, le con. C’était même mieux que le matin de noël ! La dent mâchonna le tissus et la main, un chouilla empressée, vint s’attaquer à l’agrafe.
« Chest nul che truc. »C’est mal de parler la bouche pleine Cam.C’est clair ! En plus, ça faisait baver. Oups. Sorry not sorry. La langue répara sa bêtise et s’amusa, à son tour, à dessiner des formes étranges. C’est qu’il avait une envie folle d’en faire sa muse ! Il sentait les idées fourmiller par milliers et le sang bouillir. Descendre même, pour mieux remonter. Ça aussi, c’était drôle ! Ca le fit décrocher de la peau douce après y avoir laissé une jolie marque violine. Le regard tomba aussitôt sur la proéminence et il rit. On dirait un chapiteau !. L’envie folle de faire un jeu de mot s’évanouit aussi vite que sa tête rencontra le sol. Aïe ! Il allait avoir une deuxième bosse maintenant ! Zuuuuut.
« TU CHATOUIIIILLES ! » Il remua comme un asticot, victime de la bouche vorace de la danseuse. Un peu. Pas longtemps. Très vite, le vermisseau ne bougeait plus que le bassin. C’était bon, alors pourquoi se priver ? Ça soignerait son mal de tête pour sûr ! Quoique ce n’était clairement pas assez. Il avait bien cogné quand même. Les lippes bougeaient, cherchaient les jumelles et râlaient lorsqu’elles osaient s’échapper. Y’avait rien de délicat là-dedans mais c’était bien loin de l’arrêter. Au contraire. La cueillette était meilleure lorsque méritée ! Puis ça apportait ce petit quelque chose de fou qui hameçonnait fooort l’âme, le cœur et le corps.
« Mais ! MAIS ! Je veux te faire plaisir moi. C’EST DE LA MERDE CE COUTEAU ! »
Cameron laissa ses traits fondre, comme atteint par l’acide. Il boudait fort, son petit cœur peiné de ne pouvoir offrir ce cadeau schtroumpfesque à la belle. En plus, elle pleurait ! HAN. Lui aussi, ça lui donnait envie de pleurer. Et de rire ! ARGH. C’était si dur de tout faire en même temps. De quoi s’arracher les cheveux, tiens. Non. Stop. Joe d’amour avait dit non et non, c’est non. Alors il renifla fooooort l’arc-en-ciel et ravala le chagrin. Il s’étouffa. Toussa. Vibra. Les constellations éparses virèrent au bleu criard, comme ses prunelles mouillées qu’il laissait courir le long de son visage.
« Oh. T’as les mains balabeuses. Bananeuse… BALADEUSES ! » Qu’il crie, puisque chuchoter semblait engourdir sa pauvre langue. La satisfaction marqua sa bouille, démontrant au combien l’idée d’effrayer les passants avec ses hurlements lui importait peu. Il n’était même pas capable d’établir un lien voix-fenêtre ouverte-extérieur. Il n’y avait que Joe et les paillettes qui tournaient tout autour d’elle. C’était si beau ! Son bras se tendit, la main s’agita mais non, c’était impossible de les attraper. C’était rigolo. Plus il inspirait la bonne odeur de vinaigre et plus les étoiles grossissaient.
Nouveaux cris : de désir, de plaisir. Les cils papillonnaient à tout va tant il était subjugué par ce qu’il voyait. L’Amour personnifié, poitrine à peine dévoilée. C’était magnifique. Appétissant. Les doigts gagnèrent le ventre à la vitesse de la lumière et y tracèrent mille et une arabesque. La bouche s’activa à son tour et attrapa l’affreux soutiens en grognant. Ou riant ? Un peu des deux, sans doute. Il était heureux comme un gosse, le con. C’était même mieux que le matin de noël ! La dent mâchonna le tissus et la main, un chouilla empressée, vint s’attaquer à l’agrafe.
« Chest nul che truc. »C’est mal de parler la bouche pleine Cam.C’est clair ! En plus, ça faisait baver. Oups. Sorry not sorry. La langue répara sa bêtise et s’amusa, à son tour, à dessiner des formes étranges. C’est qu’il avait une envie folle d’en faire sa muse ! Il sentait les idées fourmiller par milliers et le sang bouillir. Descendre même, pour mieux remonter. Ça aussi, c’était drôle ! Ca le fit décrocher de la peau douce après y avoir laissé une jolie marque violine. Le regard tomba aussitôt sur la proéminence et il rit. On dirait un chapiteau !. L’envie folle de faire un jeu de mot s’évanouit aussi vite que sa tête rencontra le sol. Aïe ! Il allait avoir une deuxième bosse maintenant ! Zuuuuut.
« TU CHATOUIIIILLES ! » Il remua comme un asticot, victime de la bouche vorace de la danseuse. Un peu. Pas longtemps. Très vite, le vermisseau ne bougeait plus que le bassin. C’était bon, alors pourquoi se priver ? Ça soignerait son mal de tête pour sûr ! Quoique ce n’était clairement pas assez. Il avait bien cogné quand même. Les lippes bougeaient, cherchaient les jumelles et râlaient lorsqu’elles osaient s’échapper. Y’avait rien de délicat là-dedans mais c’était bien loin de l’arrêter. Au contraire. La cueillette était meilleure lorsque méritée ! Puis ça apportait ce petit quelque chose de fou qui hameçonnait fooort l’âme, le cœur et le corps.
Codage par Libella sur Graphiorum
Living in a Rainb♡wland
- Joeïa YoonMODO - Modératrice
- » parchemins postés : 639
» miroir du riséd : hwang yeji
» crédits : havocavatar (ava)
» multinick : maximus / arty / keir
» âge : vingt-quatre ans
» situation : célibataire
» année d'études : /
» options obligatoires & facultatives :
✧ options obligatoires : / ✧ options facultatives : /
» profession : assistante du professeur d'arts scéniques / sirène au Styx
» nature du sang : sang-mêlé
» gallions sous la cape : 5559
Inventaire Sorcier
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Re: High cleaning (ft. Cameron)
Hier à 18:42
Cameron la connaît par cœur et même l’influence de la tentacula ne saurait effacer cette certitude de son esprit. Parce qu’il la connaît de cette façon, il lui est facile de lui faire plaisir. De la faire rire. Ou de la faire pleurer, quand le besoin s’en fait sentir car Joeïa commence à comprendre qu’il est ok parfois de verser des larmes, que ça ne la rend pas moins forte. Là, elle n’a pas envie de pleurer. Un rire incontrôlable s’échappe d’elle. Une envie forte qui l’électrise de la plante des pieds jusqu’aux lèvres. Cameron lui donne envie de rire, d’aimer et de se surpasser. Mais là, surtout, elle ne parvient pas à avoir une pensée correcte.
@Cameron Dullahan
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