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William Fastenburry Diary
Dim 9 Mai 2021 - 16:44
★ Fear of myself ft. @Alexander Gold (terminé)
★ INTRIGUE - Hanging tough, staying hungry ft. @Oswald Burgess (cloturé)
★ INTRIGUE - A summary before the action ft. @Ackley Wesson (cloturé)
★ Run forest, run ft. @Leonardo Moreno (cloturé)
★ Elle est quand même vachement grosse votre aiguille ft. @Aveleen O’Donnell (cloturé)
★ INTRIGUE - L'interrogatoire de Karen Underwood ft. @"Quinn Gallagher" (15/04 terminé)
★ Tout ce que vous direz ft. @Octave Muller (annulé)
★ When i ask you something, say no ft. @Evan Wakefield (cloturé)
★ It was just a drink ft. @Juliet Blackthorn (05/06 - terminé)
★ Jusqu'à ce que la mort nous sépare ft. les proches (12/06 - OS)
★ The mute seer ft. @Alexander Gold (13/06 matin - terminé)
★ INTRIGUE - Une mystérieuse réunion ft. PURE (13/06 soirée - terminé)
★ INTRIGUE - Chasse, pêche et traditions ft. @Matthew Johnson (15/06 - terminé)
★ You hate me ? ft. @Alexander Gold (26/06 - terminé)
★ INTRIGUE - Réunion au sommet ft. des grands hommes (11/08 - terminé)
★ Je ne suis pas un très bon cuisinier ft. @Calliope Muller (en cours)
★ Tu n'es pas sa mère ft. @Aveleen O’Donnell (en cours)
★ Bad Blood ft. @"Sapphire Bragnam" (terminé)
★ INTRIGUE - Attrape moi si tu peux ft. les courageux (19/10 - terminé)
★ Journées portes fermées ft. les ensorcelés (25/10 - terminé)
★ An absolute necessity ft. @Nathaniel Wakefield (16/11 - en cours)
★ Puisque je n'ai pas le choix ft. @Clarence Hastings (26/11 - en cours)
★ Au service de sa majesté ft. @Eliott King (en cours)
★ Retour d'ascenseur ft. @Alexander Gold (en cours)
★ [url=URL du sujet]Titre du rp en cours[/url] ft. nom prénom partenaire (xx réponses/à jour)
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Re: William Fastenburry Diary
Dim 9 Mai 2021 - 17:25
Archibald Gilderoy Fastenburry est le fils unique du Lord Charles William Fastenburry, londonien pur souche, et de son épouse Lady Garance, charmante française qui avait succombée au légendaire sourire du britannique. Tous deux, bien entendu, étaient de respectables sorciers d'un sang des plus purs.
Archibald voit le jour le 26 février 1948. Dans une Angleterre en pleine reconstruction suite aux affres de la guerre, le jeune homme ne connait que l'opulence digne d'un foyer où le chef de famille siège à la chambre des Lords. On lui fournit une éducation des plus prestigieuse, et c'est sans la moindre surprise qu'il rejoint la maison Serdaigle en 1959. Il finira sans le moindre problème son parcours scolaire par la validation d'un DEFIS en sciences occultes, et le lendemain même de sa cérémonie de remise de diplômes, prendra officiellement ses fonctions au sein de l'intriguant département des mystères. Cette même année, au détour d'une réunion littéraire, le genre de réunion auxquels il aimait particulièrement se glisser depuis qu'il avait rejoint les bancs de l'université, il fera la rencontre d'une jeune femme dont la passion pour les moldus le fascinera, et quelques mois plus tard, il la demandera en mariage.
C'est en 1978 qu'il deviendra père. Un rôle auquel il n'était pas préparé. Habitué à être un homme solitaire, toujours entouré de ses livres, il ne saisissait pas ce qu'on pouvait attendre de lui, si ce n'est d'éduquer son fils comme son précepteur avait pu le faire. Enfant qu'il aimait néanmoins plus que tout, sans savoir le lui montrer. Il avait cédé facilement aux multiples caprices de sa femme, lui demandant d'emménager au cœur même de la capitale britannique, et de placer leur enfant à l'école moldu afin que ce dernier ne se retrouve pas enfermé à la maison le temps qu'il aille faire sa scolarité à Poudlard. Bien qu'il fut distant, il essaya toujours de montrer à son fils qu'il l'aimait, sans doute aussi maladroitement que son propre père avait pu le faire avec lui.
C'est dans les années 80 que Sir Fastenburry, après plusieurs années de loyaux services, se verra attribué la fonction de directeur du département des mystères. Une fonction qu'il occupera avec brio jusqu'au milieu des années 90, libérant soudainement le poste, et prenant par la même occasion sa retraite du ministère de la magie. On parle d'une obscure histoire de prophétie perdue qui expliquerai cette abandon inexpliqué. Archibald ne s'exprimera jamais sur le sujet, et profitera simplement de l'aisance de sa situation financière pour consacrer tout son temps à lire et rédiger Merlin seul sait quoi, s'enfermant des heures durant dans sa salle d'étude.
C'est le 14 octobre 1951 que naissent Astoria et Eugenia Bragnam. Deux enfants nées de l'union de sorciers de sang purs écossais, les deux femmes deviennent grandes sœurs une dizaine d'années plus tard, lorsque la deuxième paire de jumeau de la famille née : Lachlan et Aileen.
Astoria et Eugenia étaient inséparables, et cela en tout circonstance, au point même que lorsque l'idée fut envisagée de leur faire faire chambre à part, elles refusèrent, préférant se partager une pièce réellement trop petite pour deux.
Astoria manifesta très tôt ses capacités magiques, puisqu'à l'âge de 2 ans, elle parvenait sans le moindre mal à transformer sa purée de brocolis en une belle assiette de pâtes. Eugenia, elle, semblait ne présenter aucune prédisposition pour quoi que ce soit. Un mot se murmurait dans la famille, une crainte que les mariages de sang purs faisaient de plus en plus apparaître dans la lignée, comme une dégénérescence génétique. Mais c'est en 1963 que tout le monde eut l'horrible confirmation. Entrées dans leur onzième année, chacune s'attendait à recevoir une lettre du prestigieux collège Poudlard. Il ne pouvait en être autrement pour une famille aussi respectée que les Bragnam. Pourtant, un seul pli portant le sceau de l'école leur parvint. Eugenia était bel et bien une cracmol.
Il fut décidé qu'elle ne resterai pas à la maison sans rien faire, il fallait tout de même l'éduquer. On l'envoya dans un internat pour jeunes filles difficiles dans le Connemara. Elle ne remettra plus jamais les pieds dans la maison Bragnam. Pas si difficile que ça, elle achèvera des études de comptable, et épousera à l'âge de 24 ans Barnab Treeshoft, un moldu, modeste vendeur de miroir. Ils travailleront ensemble durant de longues années, avant qu'un cancer du pancréas n'entraine Barnab vers la mort, sans jamais avoir perçu la moindre trace de sorcellerie dans sa vie. Eugenia Treeshoft vit aujourd'hui dans un petit bourg non loin de Dublin, et semble être la vieille folle à chat, bien que les enfants du coin aiment secrètement venir chez elle pour lui donner un coup de main, car elle paye toujours avec de délicieux gâteaux faits maisons.
Astoria fut déchirée de devoir se séparer de la seconde moitié de son être. Mais elle n'avait pas le choix. Commençant sa scolarité à Poudlard, sans la moindre surprise envoyée à Poufsouffle, elle passera ensuite six ans à Hungcalf à défendre les couleurs des Summerbee. Si ce parcours aurai pu satisfaire les exigences familiales, c'était sans compter sur son choix d'études. En effet, dans le dos de ses parents, elle continuait d'entretenir une correspondance épistolaire avec sa jumelle, en apprenant grâce à elle bien plus que n'importe quel enfant né sorcier sur les moldus. Bien entendu, c'est donc dans ce domaine qu'elle axa ses études, et on lui fit comprendre qu'une folle qui passait son temps à s'intéresser à un peuple dégénéré sans le moindre pouvoir n'avait pas sa place dans la maison Bragnam. Mais peu lui importait, car son premier essai venait de remporter un franc succès, et c'est lors d'une réunion d'édition qu'elle fit la rencontre de celui qui deviendrait son époux. Aujourd'hui, elle est à la tête d'une liste de quelques dizaines d'ouvrages sur l'étude des moldus, et la plupart son utilisés comme documents de références au sein des écoles dont elle a elle même usée les bancs.
Le nom de Bragnam ne fut plus jamais prononcé suite aux mariages d'Astoria et d'Eugenia, et jamais un membre de leur famille ne repris contact avec elles.
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Re: William Fastenburry Diary
Mer 29 Déc 2021 - 18:23
TW : traumatisme, PTSD, violence détaillée, meurtre, sang.
~ Il est d'usage de penser que l'eau chaude détend le corps et apaise l'âme. Comme si une douche avait le pouvoir divin de guérir tous les maux de ce monde. Que j'aimerais que ce soit réellement le cas. ~
Les gouttes tombes sur mon corps dans une pluie fine, la pression étudiée par des générations d'ingénieurs afin d'aligner confort et efficacité. Et pourtant, chacune d'entre elles me fait mal. Leur impact sur ma peau est comme autant de minuscule lame pénétrant la barrière de mon corps pour me blesser encore et encore, sans que jamais cela ne puisse être mortel. Pareil à une torture qui ne prendrait jamais fin, à moins que je ne tourne le robinet. Je pourrais le faire. Je ne le fais pas.
" En réalité, monsieur Fastenburry, c'est une coïncidence troublante que vous me fassiez part de votre volonté de ne plus me soutenir, le jour même où je comptais vous apporter les réponses que je vous avez promis. "
Il jette presque le dossier devant moi. Est-ce qu'il croit qu'il va s'acheter un soutien indéfectible de ma part en me donnant le nom de l'assassin de Mary ? Pourtant, la curiosité l'emporte, et je me saisi des documents, que je parcours. Mon sang semble soudain se glacer dans mes veines, alors que je comprends ce que je suis en train de lire.
" Personne ne vous croira ... " je parviens à balbutier.
" Vraiment, monsieur Fastenburry ? À votre place, je ne ferais pas ce paris ... " Son ton est doucereux, mais son regard triomphale. Il sait qu'il a gagné.
Ce n'est pas une coulure de shampoing qui me pique les yeux, qui les rend si rouges. C'est cette douleur dans ma poitrine, si forte, si puissante, qu'elle commence à m'étouffer. Comment a-t-il fait. Comment a-t-il pu savoir. Comment il est arrivé là. Je ne saurais sûrement jamais.
" Il me fait chanter, mais il n'a que le témoignage de cet homme. Aucune autre preuve. Et je n'en ai aucun souvenir. Il pourrait tout aussi bien l'avoir inventé. J'ai besoin de savoir ce qu'il en est vraiment. "
J'ignorais vers qui me tourner, mais lors de notre séance, il était devenu une évidence que le psychomage pouvait m'aider. Je voulais rejeter en bloc tout ce que j'avais lu dans ce dossier. Ce n'était qu'une histoire inventée pour me mettre dans le pétrin, mais il n'avait rien contre moi. Alors pourquoi une partie de moi donnait tout de même du crédit à ce qui était écrit sur ce document, précieusement conservé dans le bureau du politicien ? Comme si, peut-être, c'était possible ?
Le praticien s'approche de moi. Pose une main sur mon crâne. Il sait ce qu'il doit chercher, mais la fouille n'en reste pas moins longue, et plus il s'enfonce, plus cela devient physiquement douloureux. Il tente d'arracher à mon inconscient quelque chose qu'il m'a volontairement caché, et la lutte est féroce. Mais il n'est pas l'un des meilleurs au monde pour rien.
Lorsqu'il enlève sa main, je suis trempé de sueur, et mon corps tremble, accusant le choc violent que je viens de vivre. Je perçois une réelle lueur d'excuse dans son regard. Je crois que lui aussi aurait préféré ne rien trouver. Mais pourtant c'était bien là. La seconde suivante, je suis penchais sur le côté, vomissant une bile chaude et acide, ruinant le tapis qui avait été choisi avec tant de goût.
L'eau coule comme si elle n'allait jamais s'arrêter. Le filet brulant rougit ma peau. Un instant, cette couleur me fascine. Je me perds dans l'étude de mon bras chauffé à vif. Cette peau chauffée à l'extrême contraste tant avec l'émail immaculé que ma vision périphérique perçoit. Un rouge vif sur fond blanc pur. Un contraste de couleur que j'ai déjà vu.
J'ai transplané dès que j'ai reçu l'appel. L'alcool a instantanément quitté mon organisme. Ils n'ont jetés aucun sort pour que je ne puisse pas entrer, alors c'est dans mon salon que j'apparais. L'agitation se fait ressentir dans la pièce d'à côté, et mon cerveau ne veut pas comprendre que dans ce décor, se joue une pièce dont j'ai été tant de fois acteur. Je ne veux pas reconnaitre les voix que j'entends, je refuse de comprendre le langage technique utilisé. Ce n'est pas possible. C'est impossible. Je me précipite dans la cuisine. Rouge. Tout est rouge. Je ne vois que ça. Rouge, rouge, rouge ! Et soudain, blanc. Cadavérique. Même sa chevelure de feu a pris cette ignoble couleur vermeille. Je m'effondre, tombant à genoux, et je hurle comme un damné.
J'ai mal à la gorge. Heureusement que je vis seul dans cet appartement, car mes cris auraient alerté n'importe qui. Au moins, je suis certain que la jeune Muller n'est pas passée à l'improviste, ou que la marraine de ma fille n'a pas décidée d'un dîner surprise. Mes genoux me font mal. Mais ce hurlement n'a rien éliminé de la rage que je ressent.
Elle m'enrage ! Bordel qu'elle m'enrage !
Le tuyau de Burgess était bon. Il avait plutôt intérêt d'ailleurs, sinon il aurait pu retourner tout droit à Azkaban. Mais un seul des deux oiseaux de malheurs était présent dans l'appartement, lorsque nous avions fait la descente. Qu'à cela ne tienne, elle nous livrerai son frère.
J'y croyais. Magdalena Moreno allait parler. Mise sous veritaserum, elle n'avait pas vraiment le choix. Sauf que cette vipère était plus forte qu'elle ne le montrait. Elle savait que si elle prononçait le moindre mot, il en serait fini des siens, et peut-être qu'enfin nous parviendrons à faire tomber la tête principale du Styx, cette hydre malfaisante gangrénant notre communauté depuis bien trop longtemps. Alors elle restait muette. Et ma baguette me démangeais plus que de raison. Merlin sait qu'un Endoloris ou un Imperum aurait été des plus utiles. Il devrait exister une dérogation à l'usage des sortilèges interdits pour les forces de l'ordre quand il en va de la sécurité publique.
Cela fait deux heures que je suis dans cette petite pièce exiguë avec un muette qui me défis du regard. Elle se croit maligne, en sécurité. On a besoin d'elle pour attraper son frère, pour remonter plus loin encore dans l'organisation. Elle se sent intouchable, et son petit air fier en est la preuve. Je commence à perdre patience, alors le ton commence à monter. Mais elle s'en fiche. ELLE S'EN FICHE BORDEL ! Je devrais faire une pause. La laisser mariner là. Passer la main à quelqu'un d'autre. Mais c'est mon affaire, ma suspecte, et de toute façon, un plein milieu de la nuit, il n'y a plus âme qui vive dans le département, puisque l'auror de garde, c'est moi. Alors je m'emporte. De rage, je renverse la table, qui vient cogner contre ses genoux, lui tirant un petit cri de surprise et de douleur. Un instant, je vois dans son regard passer l'étincelle de la peur. Oui ... C'est ça ...
" Tu te crois intouchable hein ? Tu penses que tu es trop précieuse pour nous ? " Mon ton est froid, mesquin. Mon regard noir. " Désolé princesse, c'est pas le cas. " Mon poing s'est armé, vient rencontrer sa mâchoire. Qui a besoin d'un sort quand il possède la force physique ? Un craquement sinistre se fait entendre. La revoilà, la peur dans ses yeux. Oh oui, elle va parler. Je vais la secouer un peu, et elle me dira tout ce que je veux entendre.
Un coup. Deux coups. Trois. Quatre. Je ne sais pas à quel moment je perds le contrôle. Soudain, elle est au sol, glapissant de peur et de douleur alors que je la moleste. Elle rampe autant qu'elle peut, entravée par les menottes, pour se réfugier contre un mur. Elle pleure, supplie que j'arrêtes, promet qu'elle va parler. Mais je ne la crois pas. Je frappe une nouvelle fois, et sa tête fait un bruit étrange en rencontrant le mur, avant de retomber mollement sur le côté. Elle ne pleure plus.
La suite fut mécanique. Se débarrasser du corps, le déposant dans une ruelle déserte non loin de Sainte Mangouste. Nettoyer la salle d'interrogatoire. Détruire l'enregistrement. Brûler les documents faisant mention de l'arrestation. Oublietter les collègues en ayant eu mention dès leur arrivée au petit matin. Et enfin, s'occuper du témoin clé et coupable : m'oublietter moi même.
Mes poings ont frappés au rythme du souvenir. Des traces de sang souillent le carrelage du mur en face de moi, mais l'eau s'occupe déjà de les éliminer, et c'est dans un tourbillon rougi que tout disparait dans le syphon. Je décide que c'est assez. Je coupe l'eau. Sort de la douche. Devant moi, une silhouette se dessine. Dans la buée de la pièce, elle est un peu floue, mais lorsque je passe ma main sur la vitre du miroir, elle se précise. Mon reflet me fait face, me juge. Pour qui se prend il ? Avec violence, mon image se brise en une vingtaine de morceaux sous l'impact de mon point, qui se met à dégouliner d'un liquide chaud, avilissant la porcelaine.
Un meurtrier. Voilà qui je suis. Un meurtrier, un flic corrompu, un directeur véreux qui fait obstruction à des enquêtes alors qu'il a eu des aveux du coupable. Un leader qui n'hésites pas à mettre en danger ses gars afin de servir ses propres intérêts. Un fou furieux qui menace de tuer le gamin qui a sauvé ma fille, fille que j'ai abandonné lâchement. J'ai tué Mary. C'est ma faute. Mais je n'étais pas le bras armé. Son nom, maintenant, est une évidence. Leonardo Moreno. Peu m'importe le Styx maintenant. Cette vendetta est devenu personnelle. Je comprends. Une vie pour une vie. J'ai pris sa sœur, il m'a prit ma femme. Mais Johnson me fera tomber, je le sais. Dès qu'il en aura fini avec moi, il prouvera le meurtre, il prouvera ma corruption, et j'aurais le droit au baiser du Détraqueur. On ne laissera pas vivre un homme comme moi, même à Azkaban, là où une partie des habitants y sont par ma faute. Alors si je dois écoper de la peine capitale, j'appliquerai le même principe que lui. Une vie pour une vie. On me condamnera à mort pour le meurtre des deux Moreno.
- Personnages cités/concernés par le scénario:
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